Maintenant je suis chez un internet café en Tbilisi, la capitale de Georgie.
Le voyage en chiffres :
Jours : 81 - Km parcouru : 4573 - Vitesse maxime : 65,71 km/h - Euros dépense : 557,71 - crevaisons dans les chambres a air : 21
J'étais en Bucarest pendant quatre jours chez Florin un roumain très cool qui m'a aide a connaître la ville et aussi avec quelques choses du vélo - j'ai change la chaîne et aussi la cassette. Bucarest c'est une ville assez grande avec beaucoup d'embouteillage - quand j'étais en train d'entrer je me sentais en Sao Paulo, car je passais entre les bagnoles - mais elle a un centre intéressant. Pour aller de Bucarest a Georgie j'ai pris un avion. Arriver dans l'aéroport - qu'est 28km de chez Florin - était assez complique, parce qu'était des grosses routes (des fois avec six pistes) et j'étais avec une grande boite pour mettre le vélo dedans, dons j'étais large presque comme une voiture !
Était très différent arriver par avion, parce que quand je suis a vélo dans tout le moment je suis en train d'arriver, partir et aussi d'être dans l'endroit, cela veut dire que la transition se poursuite et par avion on arrive simplement, il n'y a pas cette continuité.
Tbilisi est une ville avec un million et demi de personnes, dans une vallée et elle est croise par le fleuve Koura. Est une petite ville géographiquement et on peut voir la fin de la ville de divers endroits, quand on a monte dans une montagne on avait une vue complète de la ville. On n'a pas l'impression d'être en Asie, mais plus en Europe, peut-être a raison que c'est un pays ou la religion la plus grande c'est le christianisme orthodoxe, en autres mots, il y a beaucoup d'églises et on peut voir cela dans la culture georgianne.
C'est une ville ou les bagnoles ont la priorité toujours, cars toutes les avenues sont très larges (avec au moins trois pistes). Cela veut dire que pour les piétons traverser les rues est toujours un défi pour croiser les rues. On a deux options : ou il faut trouver un passage souterraines (qui existe a chaque deux kilomètres) ou il faut se balancer dans les rues et essayer de ne pas être frappe par les voitures. Il n'y a presque pas des vélos dans les rues et quand il y a, elles sont dans les trottoirs.
La parte la plus intéressante dans la ville sont de petites rues et les allés où on peut voir la vie quotidienne des géorgiens et aussi ses maisons.
Pendant notre chemin on a rencontré beaucoup de géorgiens très sympa ! Dans le premier jour on était dans un allé et une madame a commence a parle avec nous et après elle nous a invite pour rentrer chez elle. Elle était Nunu, une ancienne professeure d'anglais de 82 années que nous a donne des pommes et on a reste la-bas en train de discuter avec elle !
Dans un de nos jours a Tbilisi on a décidé de connaître une autre part du pays donc on a pris un minibus a Telavi, une ville plus petite au leste de Georgie. Le chemin était intéressant parce que j'étais dans une autre perspective que j'étais habitue, ça veut dire, dedans un transport motorise. De plus, on a passe beaucoup de temps en train de voir les montagnes du Caucase qui sont très beaux avec de neige dans le top.
Une autre différence très grande c'est qui l'alphabet ici c'est différent du notre. C'est un alphabet avec 33 caractères, alors la langue est très complique et quand il n'y a pas d'écriture dans notre alphabet on ne peut même pas essayer de lire ce qui est écrite !
Ce morceaux de mon voyage était une autre type d'expérience - par rapport au divers autres que j'ai passe dans mon chemin - parce que je suis avec ma mère, cela veut dire avoir une compagnie qui n'est pas locale (comme les couchsurfers) et aussi était génial parler le portugais, ma langue materne !
Demain je pars de Tbilisi en direction a l'ouest du pays et après je vais y aller au sud pour aller en Armenie !
Voila abracos !
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